
Comment choisir son pet sitter : Le guide ultime pour partir l’esprit tranquille (et sans culpabilité féline)
Vous vous apprêtez à partir en vacances, en déplacement professionnel, ou simplement à faire une retraite de yoga détox en Ardèche (courage). Mais une question vous hante : qui va s’occuper de votre majesté féline pendant votre absence ?
Parce que oui, laisser son chat, ce n’est pas juste donner les clés à tata Josiane en espérant qu’elle se souvienne de ne pas mettre les croquettes dans l’eau. C’est confier votre matou à une personne digne de confiance, attentive, et qui saura décoder les subtilités de son regard assassin à 6h du matin.
Voici donc un guide complet (et testé sur humains) pour bien choisir votre pet sitter… et ne pas recevoir de photos floues de votre chat planqué sous le lit pendant 10 jours.
1. Pet quoi ? Pet sitter, voyons !
Tout d’abord, commençons par le début : le pet sitter, ou « gardien de votre animal préféré », est un professionnel (ou passionné très expérimenté) qui vient s’occuper de votre compagnon à poils, plumes ou écailles à votre domicile, ou l’accueille chez lui.
Pour les chats, l’option à domicile est souvent préférable : moins de stress, pas de changement d’environnement, et un accès illimité à leur trône favori (votre canapé).
2. Les 5 questions cruciales à poser (sans paraître parano)
Même si votre pet sitter a l’air sympa, une jolie bio et un sourire engageant, ne vous laissez pas aveugler par les filtres Instagram. Voici les questions à lui poser avant de lui confier votre boule de poils :
- Avez-vous de l’expérience avec les chats ? (Et pas juste « j’adore les animaux »)
- Que faites-vous en cas d’urgence vétérinaire ?
- pouvez-vous me donner des références ou avis ?
- Acceptez-vous de venir faire une visite test ?
- Saurez-vous comprendre que s’il ne vient pas vous voir, ce n’est pas qu’il ne vous aime pas, mais qu’il vous évalue silencieusement depuis l’armoire ?
3. Pet sitter pro ou voisin bienveillant ?
Ah, le fameux dilemme : faut-il confier Minette à un professionnel ou à votre voisin sympa qui « a eu un chat quand il avait 12 ans » ?
• Le professionnel :
- Est souvent formé aux soins de base, à la gestion du stress animal, voire à l’administration de médicaments.
- Vous fait un contrat (oui, un VRAI), ce qui rassure tout le monde.
- Envoie des rapports réguliers avec photos (bonus : parfois très créatives).
• Le proche bien intentionné :
- Peut être une bonne option si vous partez 1 à 2 jours max.
- Connaît déjà votre chat… ou croit le connaître.
- Risque de confondre pâtée et mousse au chocolat (véridique, vu).
Moralité ? Pour les absences de plus de deux jours, mieux vaut miser sur un(e) pro.
4. Les signes que votre chat valide le pet sitter
🧠 Les chats sont d’excellents juges de caractère (sauf quand ils tombent amoureux d’une tong).
Surveillez les signes suivants lors de la première rencontre :
- Il ne fuit pas immédiatement (c’est bon signe, même s’il garde ses distances).
- Il accepte de renifler la main tendue.
- Il s’étire nonchalamment, genre « ok, tu peux rester ».
⚠️ S’il crache, se hérisse ou joue à la panthère invisible… écoutez-le.

Choisir, tester, valider (et respirer)
Choisir un bon pet sitter, c’est un peu comme choisir un bon vin : on cherche le bon équilibre, on goûte un peu, on vérifie qu’il n’y a pas d’arrière-goût douteux… et ensuite, on peut savourer ses vacances l’esprit tranquille.
💬 Et vous ? Avez-vous déjà eu des aventures avec un pet sitter (ou votre chat vous a-t-il déjà fait comprendre qu’il préférait les vacances sans humains) ?
Partagez vos anecdotes en commentaire ou posez vos questions ci-dessous, je me ferai un plaisir d’y répondre… entre deux consultations félines bien sûr.
Humour : Journal intime d’un chat abandonné par ses humains (encore une fois)

Jour 1 :
Ils sont partis. Comme ça. Sans prévenir. Sans me demander mon avis.
Heureusement, j’ai vidé une demi gamelle pour les faire culpabiliser. J’ai aussi miaulé dans le vide, l’air digne. Ça les a touchés (je crois).
Puis… elle est arrivée.
Jour 2 :
La « pet sitter ».
Elle parle chaton. Elle m’appelle “mon petit chou d’amour”. J’ai vomi dans mes moustaches.
Elle a tenté une approche frontale avec des caresses directes. Je l’ai ignorée avec une grâce glaciale. Elle a sorti un plumeau. J’ai failli craquer.
Mais je suis fort.
Jour 3 :
Elle a trouvé ma cachette sous le lit.
Elle m’a apporté de la pâtée tiédie.
Elle m’a laissé le plaid du canapé.
Je suis troublé.
Jour 4 :
Je me suis frotté à sa jambe. Par accident.
Elle a pleuré d’émotion. Littéralement.
J’ai dû faire un bisou sur le front du désespoir.
Jour 5 :
Je dors sur elle.
Elle m’appelle “son petit miracle à moustaches”.
Je suis peut-être un peu amoureux.
Jour 6 :
Mes humains rentrent demain.
Je vais miauler devant la porte. Toute la nuit.
Juste pour la forme.
😹 Vous aussi, votre chat vous a trahi pendant votre absence ? Ou au contraire, vous a puni pendant 3 semaines ?
Racontez-moi tout en commentaire, je lis pendant mes siestes.
– Signé : Minou, 7 ans, souverain domestique incompris
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